J’ai un handicap. Comment savoir si je suis victime de mauvais traitements?

Les personnes handicapées sont plus susceptibles que le reste de la population d'être victimes de mauvais traitements. Dans certains cas, c'est parce que leur état les rend dépendantes du soutien des autres.

Les mauvais traitements peuvent être infligés par :

  • un membre de la famille;
  • un mari, une épouse, un conjoint du même sexe, un petit-ami ou une petite-amie;
  • un ami;
  • un étranger;
  • un colocataire;
  • un .

Types de mauvais traitements

Les mauvais traitements peuvent être de nature physique, sexuelle, psychologique ou financière. La négligence en fait aussi partie. Si vous subissez de tels traitements, vous n'êtes pas responsable; personne n'a le droit de vous faire du mal ou de vous maltraiter.

Les mauvais traitements, quelle que soit leur forme, sont toujours inacceptables, mais ne sont parfois pas considérés comme des actes criminels.

Par exemple, si un fournisseur de soins vous traite de moins-que-rien, il vous fait du mal, mais ce n'est pas un crime. Ça peut toutefois le devenir s'il vous menace physiquement.

Un ami ou un membre de votre famille pourrait vous emprunter de l'argent. Ce comportement, parfois abusif, n'est pas criminel. Il en va autrement si quelqu'un, même un proche parent, prend votre argent sans vous le demander ou en vous intimidant.

Quoi faire

Si vous subissez des mauvais traitements, vous avez plusieurs options, qui varient selon qu'il s'agit d'un ou non et selon la personne qui vous les inflige. Vous pouvez, par exemple :

Vous pouvez consulter un avocat au sujet de vos options. Il existe aussi des organisations qui offrent des services et du soutien aux victimes de mauvais traitements.

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